Guide d’achat : des clés pour bien s’équiper
Nous allons vous parler ici des critères à prendre en compte pour bien choisir vos chaussures.
Avant de vous lancer dans le choix d’un modèle, il peut être important de bien connaitre la morphologie de votre pied ainsi que votre pointure exacte.
La morphologie et le poids
Sur les fiches descriptives de chaussures de course à pied, vous trouvez souvent les mentions : pronateurs, supinateurs et universels. Il est important d’en tenir compte, car selon votre cas vous allez avoir besoin d’une correction ou non.
Nous avons rédigé une fiche conseil afin de vous détailler les différentes morphologie et de vous aider à identifier la votre : La morphologie du pied.
Votre poids est également important et permet de définir l’amorti nécessaire. Vous retrouvez des informations relatives au poids du coureur sur les fiches descriptives.
La pointure
Il faut savoir, que pour une chaussure de course à pied, vous devez prendre une demie pointure au dessus de votre pointure habituelle. D’autre part, les marques de running chaussant petit, il n’est pas rare de devoir rajouter une pointure voir une pointure et demi, ne prenez pas peur!
Le choix de la bonne pointure est aussi stratégique que le choix du modèle. En début de journée et debout, vous devez avoir un espace équivalent à un doigt derrière le talon.
Pour définir tout celà précisemment, vous pouvez consulter notre fiche : Bien choisir ma pointure.
La pratique et le type de terrain
Le choix du modèle doit être effectué en fonction du type de terrain.
Si ce dernier n’est pas vraiment défini, il est préférable de choisir une chaussure polyvente (terrain mixte) qui vous permettra de courir sur le bitume et dans les chemins.
Vous préferez les sentiers de campagne? Vous devez avoir une semelle plus crantée, avec une bonne tenue de pied. L’amorti peut être plus léger. Vous allez plutôt opter pour une paire de running tout terrain ou une paire de trail si ces chemins sont accidentés.
Vous n’empruntez que des routes goudronnées? Alors vous devez privilégier un maximum d’amorti.
De même, la fréquence de course et la pratique de compétitions déterminent le niveau minimum de technicité.